Saturday, January 30, 2010

L’importance de la religion aux Québécois

La religion, comme Dieu, aux Québécois est toute-puissante. Il est une partie essentielle de leur culture, la religion est integre en leur vie quotidienne. Après la mort de François Paradis, ils décident d’avoir trois grandes messes pour son âme, alors qu’il soit délivré de la Purgatoire. La famille Chapdelaine aussi prie à Dieu et à la Vierge Marie pour le repos de son âme. Ils croient que prier à Dieu produit des effets réels et tangibles. Par exemple, Maria croit que dire 1.000 des Ave à la Vierge va assurer la vie et la protection de François Paradis. Dans leur vie simple, rien ne se passe sans que ce soit la volonté de Dieu. Par exemple, le père Chapdelaine soutient que « Ca montre que nous ne sommes que des petits enfants dans la main du bon Dieu, » (118). Il raisonne que François était un des hommes le meilleurs dans les bois, mais même cet homme peut s’écarter si c’est la volonté de Dieu.

Maria, en fait, questionne la religion après la mort de Paradis. Elle prie et demande à Jésus-Christ et à la sainte Vierge pourquoi ils n’avaient pas sauver François avec leur puissance. Elle ne doute pas leur pouvoir, mais elle questionne un peu leurs motifs. Sa foi, et la foi des autres québécois, est sans limites. Elle croit que si c’était leur volonté, si c’était le destin, ils avaient le pouvoir de lui donner leur protection. Mais ils n’avaient pas le lui donner et elle désespère dans sa mort. Maria devient déprimée et elle ne comprend pas la mort de François Paradis, qui semble à elle absurde.

L’église, pour les Québécois, n’est pas seulement un centre du salut et de la beauté, mais c’est aussi un centre social important. Ils écoutent des annonces s’asseyent aux pelisses. Ils ont des rconversations aux pelisses et ils ont des rencontres avec d’autres gens qu’ils ne voient comme d’habitude sauf à l’église. C’est le cas en particulier pour les Chapdelaines qui habitent loin de l’église, dans les bois et non pas dans un village.

Le prêtre, aux Québécois, « n’est pas seulement le directeur de conscience de ses ouailles, mais aussi leur conseiller en toutes matières, l’arbitre de leurs querelles, et en vérité la seule personne différente d’eux-mêmes […] (127). Il donne des conseilles à Maria, qui croit qu’il a un « pouvoir surnaturel » et qu’il est « clairement envoyé par Dieu pour lui expliquer la vie et lui montrer le chemin, » (128). Il la conseille de non pas oublier François Paradis, de prier pour lui et de faire dire des messes pour lui, mais de passer à un autre homme, de se marier, et de commencer une famille chrétienne. Après ses remarques, Maria est encore sous le choc de la mort de Paradis. « Le monde lui paraissait curieusement vide » (131) et elle n’a plus d’amour.

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