1) Quelles images des "autres" (les Francais, les Etats-Unis, etc.) ressort(ent) de ces chapitres? Qu'est-ce que l'"ailleurs" represente ?
Les autres, au premier moment, sont vues comme des conteurs des histoires merveilleux. Ils sont aussi vues comme des excentriques. En bref, ils sont étranges et nouveaux. Dans ces chapitres, on voit 4 autres, Lorenzo Surprenant et les 3 Français. Selon la candide coutume canadienne, Samuel Chapdelaine interroge les trois Français.
La langue que les trois parlent, meme s’il est toujours le francais, semble d’etre une langue étrangère à cause de leur accent, qui est très différent de diction canadienne. On voit une image des faibles hommes qui sont subissent aux bosses et qui sont malcontent à la ville. Les canadiens les voient comme faibles parce que leurs besognes comme accordeur et employés semblent « si plaisantes et si faciles, » (136). Les trois Français sont aussi bien instruits dans les lettres et dans les mathématiques, mais ils ne sont pas bien instruits comme des canadiens dans la terre. Ils désiraient d’échapper l’air pauvre des villes, la lassitude du trottoir, leur existence asservie, les prix chers, l’enfermement perpetuel, pour une vie qu’ils pensaient comme plus saine et libre. Maintenant ils sont décu par cette vie, qui est vraiment dur dans « une terre impitoyable, » (136). Les trois Français sont freles et mal habitués aux besognes nécessaires, ils « étaient trop différenets pour imiter les Canadiens qui les entouraient, » (137).
L’autre image des autres est décrit par Lorenzo Surprenant. Il contraste la vie aux Etat-Unis avec la vie des Canadiens. Il soutient que la vie des Canadiens est absurde, qu’il n’existe pas de raisons pour rester au Canada. Les Canadiens soutiennent que les américains sont subissent aux bosses, mais Lorenzo soutient que les Canadiens sont aussi subissent, mais à leurs animaux. Les Canadiens croient que les hommes aux grandes villes ne sont pas libres comme eux, mais Lorenzo dit que c’est l’opposé, qu’ « il n’y a pas d’homme dans le monde qui soit moins libre qu’un habitant, » (138). Pour concluire, Lorenzo soutient que la vie des Canadiens est de la misère.
L’ailleurs represente une vie plus facile mais moins enrichissante. Comme la mère Chapdelaine dit, « Il n’y a pas de plus belle vie que la vie d’un habitant qui a de la santé et point de dettes, » (138). D’etre déraciné et quitter la Canada pour les Etats-Unis est vue comme quelque chose honteux. L’ailleurs represente une vie parasseuse, fausse, et sans vrais plaisirs comme regarder la bonne terre cultivée.
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
No comments:
Post a Comment