La langue française est constamment en évolution chez Antonine Maillet. Elle utilise beaucoup de répétition, en particulier dans « Par Derrière Chez mon père. » Par exemple, elle répète « l’isolement » sur page 13 pour mettre l’emphase sur l’état des Acadiens après le Grand Dérangement. De plus, elle parle du monde acadien souvent. Maillet nous reprend dans un état d’enfance, quand « vous avez le sentiment de posséder, en un instant, toutes les vies, puisque toutes sont encore possibles dans l’enfance, » (11). Elle emploie des expressions qui sont acadiens, comme « les roulis, et les poudreries, et les bourrasques, » (12). Elle dit qu’ils sont des expressions qui sont indigènes ou autochtones à son peuple. En outre, les acadiens utilisent des mots qui vient d’ancien français. Ils les redonnent une image nouvelle. Par exemple, « les roulis de la mer deviennent roulis de neige, » (12). Les Acadiens ainsi transforment des mots, ils les évoluent un rapport.
Dans « Fanie, » Antonine Maillet invente une nouvelle héroïne qui est plus fidèle, plus réelle à la vie des Acadiens. Sa Fanie est modelée après une femme acadienne type. Elle est la mère d’onze garçons et elle a beaucoup de courage. Maillet utilise des mots comme « courage, » « la forteresse, » «vertu, » « réputation, » « hardi, » « vérité, » et « moins tragique » pour décrire Fanie.
Puis, dans « Le Pays » Antonine Maillet parle des autres et qu’est-ce que c’est d’être acadien. Elle est insistent sur le fait qu’un acadien est un acadien et un acadien est différent de chaque autre race, un acadien est unique. C’est difficile chez Maillet de figer exactement ce que c’est un acadien. Donc, sa langue est ambiguë. La langue joue un grand rôle dans l’identité acadien, comme la terre et la mer aussi. Elle explique que l’Acadie connaissait la France et sa culture, mais les acadiens sont pris les éléments de la France pour eux-mêmes et ils sont crées quelque chose de neuf. Les légendes, les histoires sont préservés comme des bijoux de la famille. Donc, la tradition orale est très importante aux acadiens. Elle décrit des Acadiens comme « obstinés, » « insaisissable, » « rustres, » et uniques. Elle emploie des mots acadiens comme « les coques » pour illustrer son point. Les Acadiens incorporent les anglicismes dans leur langue. Ils sont très fier de leur langue.
Après, dans « Ce Jour-là » elle raconte l’histoire de comment elle a décidé de devenir écrivain et quand elle a décidé d’être fière de sa langue et d’écrire en français et non pas anglais, comme son enseignante voulait. Elle répète qu’elle « veux devenir écrivain. » Elle raconte comment une petite école acadienne enseignait en anglais, la langue des affaires, « du travail, de la réussite, de l’avenir, et du pays » (121). Mais Maillet clame que le français est sa langue natale, et elle écrit et elle s’identifie avec le français.
Enfin, dans « Acadie, Paradis ébréché, » Maillet raconte comment elle a s’interrogé avec sa tante pour trouver qu’est-ce que c’est d’être acadien. Elle parle du français comme « Une vieille langue, sortie de la vieille France, et conservée presque intacte durant toutes ces génération, » (128). Elle décrit ce qu’elle cherche de sa tante comme « ses coffres aux trésors linguistiques et culturels, » (129). Sa tante parlait dans un style direct et sans élaborations. Elle a de la méfiance pour les paroles et elle est patiente, elle utilise des hyperboles, les sous-entendus et les insinuations. Sa tante est très fière d’être acadien et elle transmet sa fierté à sa nièce.
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bonnes reflexions detaillees
ReplyDeleteJ'aime tes observations de la langue dans ce blog. Tu note la langue ambigue quand l'auteur ecrit sur l'identite acadienne... je pense que c'est un bon exemple du role da la langue.
ReplyDeleteJ'ai trouve la conte de l'enseigneur dans la classe tres interessant aussi est comment l'autueure s'est battu avec l'idee d'ecrire en anglais ou en francais. Tu a note que Maillet pense du francais comme sa langue natale et la langue de son peuple, donc elle veut ecrire dans cette langue. Le dicotomie de le francais comme la langue des peuples acadiens et l'angalis comme la langue des affaires et du voyage est interessant. Il me semble que pour Maillet, l'angalais est la langue de l'assimilation, des "colons" qui a tue la vie acadienne. Donc, d'ecrire dans cette langue et pour elle peut etre une reddition des anglais et de la destruction de son peuple. Si elle ecrit en francais, elle reste fidele a son people est elle affirme sa identite acadienne. Pour elle, deviennant une ecrivaine etait sa tentative de reclamer sa identite acadienne, et sa identite francais. Comme elle indique, la lange est une partie tres importante dans la vie acadienne est donc c'est le FRANCAIS, pas l'anglais, qui est la vehicle pour la vie et l'identite acadienne.
J'aime la façon dont vous effectuez un zoom et se concentrer sur certains mots qui Maillet utilise dans ces histoires. En mettant l'accent sur un seul mot, on peut voir la puissance de la parole et être capable de l'utiliser dans une phrase plus efficacement en lui donnant un sens différent. Après la lecture de votre blog, je suis retourné et lire les histoires de penser de nouveau au sujet des mots spécifiques et ce qu'ils voulaient dire et il m'a donné beaucoup d'idées nouvelles sur ce que chaque histoire a été dit. En outre, certains mots sont très réfléchi et important pour décrire la culture acadienne et les conditions de leur vie, qui aident à comprendre la parole eux-mêmes mieux.
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