Monday, March 29, 2010

free-write take 2

Pour Cadie, « Cajun » ne veut pas dire Cadien. Les gens qui parlent les créoles ont des racines diverses, comme le gumbo. C’est tout un mélange de ces cultures qui rendent la langue créole intéressant et spéciale. Les Louisianais ont des sociétés pour la conservation de leur langue, comme la société de paroisse de Saint-Augustin. Quant au créole, c’est une langue orale qui est passé de famille à famille dès la naissance. C’est une lutte pour sauver cette langue fragile. Elle est une mémoire de la vieille France, une partie essentielle du passé. C’est presque une espèce spirituelle.

Les « folk-tales » de Louisiane ont une importance triple. Leurs buts est d’expliquer la nature, d’expliquer un phénomène naturel, et d’enseigner une morale pour les enfants. Ces contes parlent des animaux et de leurs racines, leurs ruses et leurs jeux. Par exemple, dans « La Baleine et l’Eléphante, » Compair Lapin nous enseigne que la flatterie n’est que des mots vides de sens et que la fortitude du cerveau est plus valable que la fortitude du corps. Ces contes sont intéressants et valables pour montrer la conservation de la langue créole.

En parlant d’Acadie, on parle d’un peuple très fort. Il faudrait vivre le Grand Dérangement quand ils étaient pris de leurs maisons et ils étaient forcés par les soldats de vivre partout. Ils n’étaient pas acceptés partout, mais ils devraient travailler dur et essayer de meubler une nouvelle vie dans un nouveau pays. Ils étaient expulsés de leur terre natale, et dans une façon exilés de leur identité lié à la terre et a la mer. Heureusement, ils conservaient leurs identités et même leurs communautés ou tout le monde est égal. Ils sont un peuple paisible et content. L’Acadie ca vit encore comme un lieu de mémoire, comme dit Pierre Nora.

Antonine Maillet, dans ses contes, célèbre un Acadie qui n’est pas figé mais qui bouge et qui se transforme selon ses habitants divers. Dans « Par derrière chez mon père, » elle parle des débuts difficiles pour les Acadiens, et de la belle époque de Grand-Pré ou de leur ancienne vie. Elle parle d’un esprit d’un enfant, et du fait que l’Acadie continue dans les cœurs des Acadiens. Comme elle dit, « figer, c’était crever, » (12). La légende de l’Acadie vit encore, l’âme d’un lieu n’est pas facile de détruire. Au « Fanie, » elle parle des vrais Acadiens, qui ne sont pas des Acadiens idéalisés de Longfellow dans son poème « Evangeline. » Il faut rester fidèle à leur culture et a leur langue. Il faut « défendre leur vertu contre l’assaut américain ! » (75). Ces femmes ont beaucoup d’enfants et des maisons comme les forteresses. Elles sont astucieuse, geleuses, courageuses. Elles sont des vraies Acadiens qui transmettent leur culture aux enfants et qui vivent leur culture jour par jour. Dans « Acadie, paradis ébréché » Antonine Maillet parle de sa tante qui a tout vu. Sa tante, comme la plupart des Acadiens, avait une vie très dure. Comme elle dit, « Rient ne pouvait plus surprendre l’héritière de dix générations de pionniers-défricheurs-fondateurs d’un peuple qui avait passé la moitié de son histoire à se battre, et l’autre à se défendre, » (126). De plus, elle emploi des métaphores qui décrit une guerre pour la culture. Il y a aussi la notion de la liberté de langue. On voit « de mots rares, de proverbes anciens, » (130). La langue des Acadiens est venue de l’ancien français. La langue des Acadiens est inextricablement liée à leur identité.

Sunday, March 28, 2010

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Pour ma rédaction, j’aimerais écrire sur le thème de l’infirmité. Il faut explorer qu’est-ce que c’est d’être malade et qu’est-ce que ca implique, en particulier dans les années tôt de 20eme siècle. J’aimerais demander les questions, est-ce que le médecin était assez avancé à ce temps-là de corriger les difformités comme le pied-bot de Rose-Aimée ou non ? Est-ce que ca coutait cher ? Qu’est-ce ca implique ? Rose-Aimée, en particulier, ne se laissait affaiblir à cause de sa difformité. Peut-être si son frère Dalma soit infirme il ne pourrait pas aller à la guerre. Urbain aussi, néanmoins Urbain me semble plus sensible, comme sa mère, à la réalité de la guerre que Dalma, qui fait des romanticismes de la guerre comme une grande aventure. Il rêve, comme son père, de la grande aventure, du patriotisme et d’un monde en conflit pour la liberté. Mais sa mère est plus réaliste, elle reconnaît ce que c’est de combattre et de perdre du sang, elle dit qu’elle ne désire pas la liberté « quand le sang de mes enfants en est le prix. »

En retournant à la difformité de Rose-Aimée, son père est méfiant des médecins et il se résigne à son état. Lorsque vous avez comme douze/treize enfants, vous n’avez pas ni les moyens ni le désir de corriger une telle chose. Donc, vous prenez la solution naturelle et vous priez à un Dieu puissant mais vous n’espérez trop pour un rêve. J’aimerais discuter comment sa maladie affecte la famille entière. Je pense qu’il est signifiant l’ordre des naissances et que Rose-Aimée est le plus jeune de tous les enfants. Je peux discuter aussi l’ordre des naissances et comment les enfants sont différents les uns à l’autres. J’aimerais traiter aussi la question d’assimiler, de comment la famille Larivière assimile ou non. Les scènes comme quand les petits enfants dissent « dank yoo, dank yoo » est vraiment révélateur. Le père Aurélien aussi ne veut pas apprendre l’anglais, même s’il aurait un ami, le vieux Ecosse, qui parle l’anglais. Il dit qu’il « speak bad. Me, I dont-euh-apprends fast, » (68). J’aimerais examiner le degré qu’ils assimilent contre le degré qu’ils restent uniquement canadien français. Le fait qu’ils déménagent souvent joue un rôle aussi. Ils poursuivent un avenir mieux que l’autre. Aurélien a une âme aventureuse, il n’aime trop rester dans un seul lieu. Sa femme, par contre, aime rester et agrandir les enfants. Mais ils font de la terre dans le Maine et ca me semble marcher mieux pour eux.

De plus, on a l’impression que sa mère aimerait prendre Rose-Aimée à un médecin pour corriger sa difformité. Mais par conséquent des rôles très stricte de sexe, elle est subite à son mari. En certain instances elle n’est pas subite, comme quand elle argue avec lui au sujet de la guerre. Mais aux autres instances comme à la veillée où il voudrait qu’elle chanterait elle est plus subite. J’aimerais peut-être examiner les rapports entre les maris et leurs enfants. Il sera intéressant de faire une analyse plutôt psychologique des maris et des enfants. Mais ce n’est qu’une idée. On verra.